La noirceur des couleurs – Martin Blasco
Bonjour à tous !
Comment allez-vous ?
Je viens aujourd'hui vous parler du thriller que j'ai lu il n'y pas longtemps, « La noirceur des couleurs ».
« Cinq bébés enlevés. Un projet expérimental diabolique consigné dans un journal intime. Un journaliste qui enquête sur ces disparitions vingt-cinq ans après.
1910, Buenos Aires. Une jeune femme réapparaît au domicile de ses parents après avoir disparu une nuit alors qu'elle dormait dans son berceau. Une jeune femme sans aucun souvenir, un homme qui se comporte comme un chien, les images hallucinées d'une session d'hypnose, sont les pistes qui conduiront Alejandro à remonter le fil de cette sombre histoire jusqu'à un dénouement aussi terrifiant qu'inattendu. »
Il est plutôt long pour un thriller, puisqu'il fait à peine 300 pages, mais ça se lit vite. Le suspense nous pousse à tourner la page, à ne pas écouter votre mère qui vous dit d'aller manger, à faire semblant de ne pas voir votre horloge, qui vous rappelle par ses tic-tac que l'heure passe et que vous avez cours demain.
Malgré le fait qu'il se passe plus d'un siècle plus tôt, cette différence ne se sent pas : très franchement, il manquerait juste les téléphones et Internet, et tout serait exactement comme chez nous. L'auteur n'a pas démarqué son langage, pas de détail spécifique qui montre qu'on n'est en 2017, rien. Donc de ce côté-là, vraiment rien.
Les personnages sont très intéressants : ils sont tous très différents, et c'est plutôt cool de les découvrir tous. Cependant, je trouve que leurs caractères auraient pu être plus exploités, moins survolés. Ils ont une profondeur relative, mais l'auteur aurait vraiment pu creuser plus.
L'intrigue, elle, est vraiment super bien construite : la révélation finale est incroyable, je n'avais vraiment rien vu venir. Elle est super bien menée, et l'auteur ne nous laisse quasiment aucun indice pour deviner l'identité du coupable, du savant fou. On est tout le long au même niveau qu'Alejandro et c'est très bien. Ou presque ! Car nous avons des chapitres « journal », où l'on suit l'évolution de l'expérience par les yeux du savant fou, ce qui ajoute encore au côté hyper creepy du livre ;)
Le titre est très bien choisi, avec du recul. La couverture est toute noire, pourtant on nous parle de couleurs. Après lecture, le titre n'aurait vraiment pas pu être mieux : je ne peux pas vous en dire plus, sinon je vous spoile.
Donc voilà, c'est tout pour ce livre !
Comment allez-vous ?
Je viens aujourd'hui vous parler du thriller que j'ai lu il n'y pas longtemps, « La noirceur des couleurs ».
« Cinq bébés enlevés. Un projet expérimental diabolique consigné dans un journal intime. Un journaliste qui enquête sur ces disparitions vingt-cinq ans après.
1910, Buenos Aires. Une jeune femme réapparaît au domicile de ses parents après avoir disparu une nuit alors qu'elle dormait dans son berceau. Une jeune femme sans aucun souvenir, un homme qui se comporte comme un chien, les images hallucinées d'une session d'hypnose, sont les pistes qui conduiront Alejandro à remonter le fil de cette sombre histoire jusqu'à un dénouement aussi terrifiant qu'inattendu. »
Il est plutôt long pour un thriller, puisqu'il fait à peine 300 pages, mais ça se lit vite. Le suspense nous pousse à tourner la page, à ne pas écouter votre mère qui vous dit d'aller manger, à faire semblant de ne pas voir votre horloge, qui vous rappelle par ses tic-tac que l'heure passe et que vous avez cours demain.
Malgré le fait qu'il se passe plus d'un siècle plus tôt, cette différence ne se sent pas : très franchement, il manquerait juste les téléphones et Internet, et tout serait exactement comme chez nous. L'auteur n'a pas démarqué son langage, pas de détail spécifique qui montre qu'on n'est en 2017, rien. Donc de ce côté-là, vraiment rien.
Les personnages sont très intéressants : ils sont tous très différents, et c'est plutôt cool de les découvrir tous. Cependant, je trouve que leurs caractères auraient pu être plus exploités, moins survolés. Ils ont une profondeur relative, mais l'auteur aurait vraiment pu creuser plus.
L'intrigue, elle, est vraiment super bien construite : la révélation finale est incroyable, je n'avais vraiment rien vu venir. Elle est super bien menée, et l'auteur ne nous laisse quasiment aucun indice pour deviner l'identité du coupable, du savant fou. On est tout le long au même niveau qu'Alejandro et c'est très bien. Ou presque ! Car nous avons des chapitres « journal », où l'on suit l'évolution de l'expérience par les yeux du savant fou, ce qui ajoute encore au côté hyper creepy du livre ;)
Le titre est très bien choisi, avec du recul. La couverture est toute noire, pourtant on nous parle de couleurs. Après lecture, le titre n'aurait vraiment pas pu être mieux : je ne peux pas vous en dire plus, sinon je vous spoile.
Donc voilà, c'est tout pour ce livre !
– Plume d'Encre
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